Lisse-toi rrrrrh sang faim

Salut salut bon aujourd'hui je vous propose un petit jeu ...
Histoire de faire travailler votre esprit créatif

( ben oui on a plus français , et disons qu'on a pas souvent à faire de sujet d'invention en math )

Alors voila , c'est tout simple , dans le prochain post je vais démarrer une histoire, et ce sera a vous de la continuer

Seulement deux règles :

• - Pas de doubles post
  - Vous devez attendre que deux personnes aient participé à l'histoire avant de reposter
  
  

Voila voila j'éspere que ça vous plaira ...

Dans son lit sans sommier ( c'était sa façon pour décrire son tas de paille ) Tacotac se remuait, Mr X ( je laisse le soin au prochain posteur de choisir le nom du héros qu'est ce que je suis gentil ) déboulait dans le jardin, son épée a la main

" ralabistoufaille manant !! tire toi de la avant que tes oreilles ne deviennent aussi hideuse que la tête de ton arrière grand tante !! "

Tacotac, dépité devant l'accoutrement pyjamatique de son maitre, exécuta son rôle, aboyant à tue tête sur cette pauvre femme qu'il aurait préféré voir rester ...

C'est vrai après tout elle au moins avait daigné lui faire une petite caresse. Et puis elle avait un petit quelque chose qui lui plaisait bien. Non pas qu'elle fût plus jolie que les autres ça il s'en moquait... Non... Non il y avait autre chose. Autre chose de plus subtil, de plus enfuis, comme une ombre, une épaisseur, un trait, une marque, un charme particulier... Mais qu'est ce que ça pouvait bien être... Soudain ça lui revint. Son odeur. Il ferma les yeux et, la truffe dans le vent chaud et sec du mois de juin, se mit alors à faire remonter de sa mémoire olfactives les effluves qui embaumaient il y a quelques instants encore la maison... C'était un peu comme l'herbe fraichement coupée sur laquelle on aurai laissé tomber la rosée. Oui c'était parfaitement ça ! une franche odeur fraîche d'herbe fauchée. Elle lui rappelait ces belles journées de son enfance quand il suivait ses frères dans les terriers de lapins et qu'il revenait noir de boue rampant près de sa mère. Oui vraiment il aurait aimé qu'elle reste...
ha c'était autre chose que cette grande dinde endimanchée dont il lui arrive encore de sentir en cauchemar les relents de parfum bon marché.
Mais il fallait bien s'y attendre il ne les garde jamais plus d'une semaine ou deux... Depuis la mort d'Elisa rien de va plus.... Non vraiment depuis cette nuit là tout va de travers. depuis cette nuit où [...]

elle n'est jamais rentrée. Je me souviens encore comme si c'était hier de ces heures interminables à l'attendre. Mon maître faisait les cents pas, puis il se rasseyait dans un long soupir, jetant parfois un regard par la fenêtre, en sachant bien au fond de lui même qu'elle ne rentrerait pas. Je le voyais regarder avec envie et désespoir la photo qu'il avait prise le jour de mon adoption. Elisa me tenait dans ses bras, je me souviens encore de son odeur. Ce jour là elle portait une robe rouge qui lui allait à merveille. Parfois, ses longs cheveux blonds venaient à me chatouiller le nez et les oreilles et je sursautais. Moi? Craintif? Non. Jamais. Elisa éclatait de rire à chaque fois. Elle était si heureuse. Il l'était tellement aussi avec elle... Je réalisai que je ne pouvais rester passif. C'est pourquoi tout à coup, je bondis, et [...]

Mordis cette vieille carcasse !!
Il était temps de partir à l'aventure, il était temps de venger Elisa, peu m'importait si je devais lui arracher un bras pour qu'il le comprenne .

Combien comme elle avaient rejoins contre leur grès les forces des Royaumes de Sable ? Combien comme elle peinaient aujourd'hui, esclaves du temps, dans cette forteresse hideuse ?
Beaucoup trop !! Et, tout comme moi, cette sale carpette le savait .

L'heure avait sonné, quelqu'un devait agir, et nous serons ces héros !




Enfin dès que Mr X aura compris que son épée ne coupe pas QUE le jambon ...

Il faisait chaud, ce genre de chaleur accablante et malsaine qui vous pèse sur chaque centimètre carré de peau, qui vous empêche d'avancer, qui vous paralyse la pensée... Pas un souffle de vent ne venait soulever l'épais tapis de poussière qui recouvrait la route qui n'avait visiblement pas vu de bottes depuis bien des années. Rien ne bougeait, tout était de cette effrayante immobilité qui précède les tempêtes.
Soudain un point se dessina à l'horizon. Ce n'était qu'une tâche sur un ciel trop bleu mais petit à petit on commençait à discerner une silhouette. C'était un humain ou du moins à ce que l'on pouvait voir ce qui avançait avait deux jambes, un tronc et une tête tout ceci accompagné d'un léger vent qui venait de se lever. Puis la silhouette devins un peu plus nette toujours accompagnée au fur et à mesure qu'elle se détachait du fond d'un vent soufflant de plus en plus fort.
On arrivait maintenant à distinguer les bras et à apercevoir les traces d'un chapeau. le vent faisait maintenant se coucher les rares brins d'herbes et s'élever la poussière en vagues sèches. L'homme, car c'était un homme, était à une soixantaine de mètre, le vent s'engouffrant dans son manteau lui faisait comme une cape.
Il avançait vite, il n'était plus qu'à une cinquantaine de mètres, le vent augmentait encore,une trentaine, la poussière faisait maintenant des tourbillons, une vingtaine, des murs de poussières, une dixaine, un épais brouillard marron puis on entendit une voie d'abord lointaine et perdu dans le bruit du vent. Mais qu'est ce que c'était ? (bonne idée de poser cette question à ce moment de la tempête car comme tout le monde le sait la réponse est dans le vent...) "taille twa" Puis petit à petit elle devint de plus en plus distincte, "ta eeille twa" on aurait dit qu'elle se rapprochait "taac eeille toi" jusqu'à devenir très proche et étrangement familière " t'es un creeetoi fait d'néan" et soudain une violente secousse se fit sentir "tac réveille toi fainéant !" tout à coup je revins à la réalité avec cette impression étrange que peut nous laisser un rêve beaucoup trop réel. Comment m'étais-je endormis? Comment m'étais - je retrouvais à dormir au pieds de mon maître que je mordais quelques minutes avant? je m'aperçut alors que dans les yeux de mon maître brillait cette lueur que je n'avais pas vu depuis la disparition d'Elisa. apparament mes efforts avaient portaient leurs fruit malgré mon assoupissement...

"il est l'heure de les faire payer ! Que rougisse le sable!" il se leva la tête haute fis trois pas, se claqua la tête contre le linteau et tomba à la renverse ... enfin... c'était pas gagné...